Êtes-vous la photographe présente le jour J ou déléguez-vous à un collaborateur ?

Toujours moi.

Je ne délègue jamais la captation d’un mariage, car la relation humaine et la sensibilité du regard ne se transmettent pas.

Chaque reportage repose sur une confiance mutuelle et une présence sincère — c’est ce qui fait la profondeur de mes images.

Combien de mariages photographiez-vous habituellement sur un même week-end ?

Un seul.

Je préfère vivre chaque mariage comme une expérience unique plutôt que d’enchaîner les prestations.

C’est une question d’énergie et de respect envers les personnes que je photographie. Je veux être reposée, concentrée et totalement disponible pour votre journée.

À partir de 120 invités, je fais appel à un second photographe de confiance.  Cela permet de couvrir les moments simultanés — les préparatifs, les émotions en coulisses, les regards croisés — sans rien perdre de l’essence du reportage.

Avez-vous déjà travaillé dans notre lieu de réception ? Si non, prévoyez-vous un repérage ?

J’aime découvrir les lieux avant le mariage, autant que possible.

Lorsque je ne connais pas encore l’endroit, je profite souvent du repérage des futurs mariés pour venir avec eux. C’est un moment privilégié qui me permet de ressentir l’énergie du lieu à travers leurs yeux, de comprendre ce qu’ils aiment, ce qu’ils imaginent.

Je m’y rends ensuite parfois la veille, ou quelques jours avant, pour observer la lumière et repérer les zones d’ombre et de douceur.

Chaque espace a son rythme, ses couleurs, sa respiration — et c’est ce que je cherche à comprendre avant même d’y poser mon appareil.

Quel est votre plan de secours en cas d’empêchement (maladie, urgence, etc.) ?

En cas d’imprévu grave — ce qui, heureusement, ne m’est jamais arrivé — je dispose d’un réseau de photographes professionnels de confiance, partageant la même éthique et le même style.

Je m’engage à assurer la continuité du reportage et à superviser la post-production pour garantir la cohérence de votre galerie finale.